Cette haute figure de la lutte contre l'apartheid a été reconnue coupable d'avoir détourné à son profit des fonds destinés à la Fondation "paix et justice", qu'il dirigeait avant sa dissolution et qui avait été mise en place pour venir en aide aux victimes des politiques racistes du régime dans les années 80. Alors qu' Allan Boesak continue à clamer son innocence, diverses autorités ecclésiastiques ont rendu hommage à son engagement passé "dans le combat pour la démocratie".