Campagne en faveur des oubliés de la communication
28 décembre 2001
La société de l’information ne l’est pas pour tout le monde
Une grande partie de la planète vit sans accès aux médias, à Internet, à la téléphonie fixe ou mobile. Pour 2002, « Pain pour le prochain » et « Action de Carême » s’engagent pour un juste partage de cette dimension essentielle de l’existence humaine.
Internet, téléphonie mobile, journaux et médias électroniques : notre société est bien devenue celle de l’information. Pour leur campagne œcuméniques 2002, les œuvres d’entraide « Action de Carême » et « Pain pour la prochain » unissent leurs efforts pour rappeler que, comme toute richesse, la communication doit se partager.
Ignorées, certaines régions du monde ne se retrouvent sous le feu des médias qu’en périodes de crises ou de conflits. Seconde forme d’exclusion, l’accès aux sources d’information. Pour ne citer que quelques exemples, un tiers des ménages suisses (et la moitié des familles nord-américaines) disposent d’un accès au réseau informatique mondial, contre un habitant sur quatre cents en Afrique noire. Dans notre pays, sept personnes sur dix possèdent un téléphone portable, alors que 80% de la population mondiale n’a pas de ligne téléphonique, et que 50% n’ont même jamais eu de communication téléphonique.
§Le Sud exclu du village numérique« Le droit à la communication et à l’information est un droit humain fondamental. La participation aux réseaux globaux de communication, l’accès à des moyens d’informer et de s’informer – jusqu’ici hors d’atteinte – constituent l’une des clefs du développement économique et social, en particulier au Sud. (…) Dans la perspective d’un ordre mondial plus équitable et d’un développement durable, la politique, l’économie et les médias doivent assumer leurs responsabilités et prendre des mesures ciblées afin de réduire le fossé entre riches et pauvres en matière de communication », peut-on notamment lire dans la brochure qui accompagne l’action « Communication pour tous ! »
Engagement pour la liberté de la presse, adoption de la « Charte des peuples pour la communication », investissements plus importants pour favoriser l’installation de raccordements téléphoniques dans les pays en développement : les œuvres d’entraide proposent au public désireux de soutenir cette action, d’envoyer des cartes postales spécialement rédigées à l’attention du Conseil fédéral, des entreprises de télécommunication et des médias. Avec l’espoir que cela permettra aux êtres humains d’être vraiment reliés les uns aux autres.
Internet, téléphonie mobile, journaux et médias électroniques : notre société est bien devenue celle de l’information. Pour leur campagne œcuméniques 2002, les œuvres d’entraide « Action de Carême » et « Pain pour la prochain » unissent leurs efforts pour rappeler que, comme toute richesse, la communication doit se partager.
Ignorées, certaines régions du monde ne se retrouvent sous le feu des médias qu’en périodes de crises ou de conflits. Seconde forme d’exclusion, l’accès aux sources d’information. Pour ne citer que quelques exemples, un tiers des ménages suisses (et la moitié des familles nord-américaines) disposent d’un accès au réseau informatique mondial, contre un habitant sur quatre cents en Afrique noire. Dans notre pays, sept personnes sur dix possèdent un téléphone portable, alors que 80% de la population mondiale n’a pas de ligne téléphonique, et que 50% n’ont même jamais eu de communication téléphonique.
§Le Sud exclu du village numérique« Le droit à la communication et à l’information est un droit humain fondamental. La participation aux réseaux globaux de communication, l’accès à des moyens d’informer et de s’informer – jusqu’ici hors d’atteinte – constituent l’une des clefs du développement économique et social, en particulier au Sud. (…) Dans la perspective d’un ordre mondial plus équitable et d’un développement durable, la politique, l’économie et les médias doivent assumer leurs responsabilités et prendre des mesures ciblées afin de réduire le fossé entre riches et pauvres en matière de communication », peut-on notamment lire dans la brochure qui accompagne l’action « Communication pour tous ! »
Engagement pour la liberté de la presse, adoption de la « Charte des peuples pour la communication », investissements plus importants pour favoriser l’installation de raccordements téléphoniques dans les pays en développement : les œuvres d’entraide proposent au public désireux de soutenir cette action, d’envoyer des cartes postales spécialement rédigées à l’attention du Conseil fédéral, des entreprises de télécommunication et des médias. Avec l’espoir que cela permettra aux êtres humains d’être vraiment reliés les uns aux autres.