Quand finit-on de découvrir ses parents?

Tout au long de notre existence, nous construisons des liens avec nos parents. Et parfois, c’est des années après leur décès que nous arrivons à les comprendre, à les aimer, à leur pardonner. Pourquoi cette relation est-elle si compliquée ? Comment évolue-t-elle ? Est-ce pareil dans toutes les cultures ? Y a-t-il des méthodes pour vivre ces échanges de manière plus apaisée ?
© Léandre Ackermann
«On n’éduque plus ses aînés»
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La cinquantaine passée, elles prennent en charge leurs propres parents. En Suisse romande, la plupart des proches aidantes sont des femmes. Un rôle auquel on est rarement préparée, qui suscite des questions existentielles.
© Léandre Ackermann
Culturelle, la crise d’ado?
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S’opposer frontalement à ses parents entre 12 et 16 ans, c’est un rite de passage commun à toutes les sociétés occidentales. Dans d’autres cultures, les aînés sont d’abord vus comme un soutien et c’est une chance de les avoir à ses côtés. Comment les jeunes issus de la migration la vivent-ils?
© Léandre Ackermann
Refuser les poids indus
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De nombreuses générations peuplent les premiers chapitres de la Bible. Illustrant les dons transmis par les parents, ces pages soulignent aussi la nécessité pour les enfants de se libérer des poids que font peser sur eux les géniteurs. Rencontre avec André Wénin, bibliste à Louvain-la-Neuve en Belgique.
© Léandre Ackermann
Prendre conscience de nos héritages familiaux
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Quelle est la place de notre histoire familiale dans notre identité? Sommes-nous lucides sur tout ce qui nous a été transmis? La psychogénéalogie permet de retrouver une juste place au sein d’un lignage.
© Mathieu Paillard
Un père en colère
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Il y a bien longtemps, alors que le monde était encore jeune, vivait Cronos, le roi des dieux de la famille des Titans. Comme ses frères et sœurs, les autres Titans, il était le fils de la Terre, Gaïa, et du Ciel, Ouranos.

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Les façons d'enterrer et de se recueillir ne sont pas éternelles, mais personnelles. / IStock
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Contrairement à la colère, qui a un caractère spontané, la haine mûrit dans nos esprits, s’alimente de nos rancœurs, de nos frustrations, au point parfois d’envahir nos pensées.