Comment faire pour que tous se sentent bien?
Transformer sa paroisse ou de tout autre lieu un espace ouvert à toutes et tous est un idéal séduisant. Mais, face aux opinions divergentes, aux désaccords théologiques, aux différences physiques ou aux difficultés pratiques, comment éviter que la communauté ne se mue en club fermé? De tout temps, l’Eglise a fonctionné en groupes spécifiques (les jeunes paroissiens, par exemple) tout en soignant les liens avec la communauté au sens large. Serait-ce là une formule magique pour exister avec ses particularités et tisser à la fois des solidarités donnant l’assise nécessaire pour vivre une communauté fraternelle?